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3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 18:33

Suite à l’effondrement d’un pan de rempart sur une longueur de 25 mètres dans la soirée du 6 décembre 2010, le boulevard Mac Mahon a été interdit à la circulation des véhicules et au passage des piétons pour des raisons de sécurité et de conservation des matériaux.

 

Les propriétaires concernés par la chute du rempart ont introduit des procédures contentieuses conservatoires afin que soient établies de manière certaine les causes du dommage et les responsabilités qui en découlent.

 

Dans cette perspective, les experts judiciaires qui sont venus sur place ont préconisé de ne pas déplacer les gravats tant qu’une analyse plus approfondie de l’incident n’aura pas été menée. Il a par ailleurs été précisé que la partie de rempart encore debout ne permettait pas d’ouvrir en toute sécurité, même sur une voie, la circulation sur le boulevard Mac Mahon.

 

Cette décision va avoir pour effet de retarder la remise en circulation du boulevard.

 

La Ville d’Autun communiquera très régulièrement sur ce dossier pour vous informer de son évolution.

 

 

 

Roger Vernay,

Adjoint au Maire chargé de la Sécurité, de la Vie Quotidienne, de la Vie des Quartiers et de la Vie Associative

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 11:40

Remise en circulation du Boulevard Mac Mahon

 

 

 

Suite à l’effondrement d’un pan de rempart sur une longueur de 25 mètres dans la soirée du 6 décembre 2010, le boulevard Mac Mahon a été interdit à la circulation des véhicules et au passage des piétons pour des raisons de sécurité et de conservation des matériaux.

 

Nous avons appris ce matin qu’un des propriétaires concernés a introduit une procédure de référé conservatoire auprès du Tribunal administratif qui nécessite l’intervention d’un expert qui sera chargé d’établir un rapport qui décrira la situation au jour de son intervention.

 

Ce n’est qu’après l’intervention de cet expert et en fonction de l’ordonnance rendue par le Tribunal que des mesures pourront être entreprises par les propriétaires du mur du rempart pour dégager la voie et sécuriser la circulation du boulevard Mac Mahon. L’ensemble de ces formalités devrait s’étaler sur deux à trois semaines.

 

La Ville d’Autun fera tout ce qui est en son pouvoir pour que la situation soit rétablie le plus rapidement possible.

 

Roger Vernay,

Adjoint au Maire chargé de la Sécurité, de la Vie Quotidienne, de la Vie des Quartiers et de la Vie Associative

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 15:46

Suite à l article intitulé « Pour redonner vie aux berges »,

paru dans l’édition du Journal de Saône-et-Loire du 15 décembre 2010

 

 

- DROIT DE REPONSE -

 

 

Suite aux observations de Monsieur le Président de l’Union de la Gaule Autunoise et des Pêcheurs Morvandiaux(UGAPM) rapportée dans l’édition du Journal de Saône-et-Loire du 15 décembre 2010, la Ville d’Autun tient à préciser :

 

-         Elle a délégué par convention à l’UGAPM l’exclusivité de la gestion piscicole et de la pêche au plan d’eau du Vallon, dont elle est propriétaire. A ce titre, et dans le cadre de la gestion de cette activité, il est normal que les travaux intéressant le secteur « pêche » soient financés en large partie par les différents organismes qui bénéficient des recettes liées à la vente des cartes de pêche.

 

-         La Ville d’Autun, propriétaire du plan d’eau du Vallon, a instruit la demande d’autorisation effectuée par l’association pour réaliser les travaux de la frayère. Cette autorisation a été délivrée. Pour permettre la réalisation des travaux, les services techniques de la Ville d’Autun ont abaissé le niveau de l’eau, comme demandé. Ces travaux ont été autorisés et soutenus par la Ville d’Autun puisqu’ils représentent un plus environnemental pour le plan d’eau et pour l’activité piscicole.

 

-         Enfin, comme chaque année, la Ville d’Autun a apporté son concours financier à la gestion de l’association, à hauteur de 500 €.

 

 

 

 

AUTUN, le 16 décembre 2010

 

 

Roger VERNAY,

Adjoint au Maire

chargé de la Sécurité, de la Vie Quotidienne,

de la Vie des Quartiers et de la Vie Associative

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8 décembre 2010 3 08 /12 /décembre /2010 14:53

Suite au gel, puis aux fortes chutes de neige la semaine dernière, et enfin au redoux soudain accompagné d’importantes précipitations de ce début de semaine, un pan du rempart s’est effondré dans la partie basse du boulevard Mac Mahon dans la soirée du 6 décembre.

 

Fort heureusement, les dégâts ne sont que matériels. Les mesures ont immédiatement été prises pour délimiter et sécuriser le secteur, ainsi que la fermeture du boulevard à la circulation publique.

 

Rappelons qu’au plan juridique un rempart, même classé à l’inventaire des Monuments Historiques, n’est jamais qu’un mur de soutènement et donc fait partie de la propriété privée qui le domine. Il reviendra donc aux deux propriétaires concernés par l’effondrement de remettre en état le rempart et le site.

 

En plus de leur compagnie d’assurance, ils pourront solliciter, compte tenu du caractère classé du rempart, le soutien financier de l’Etat et du Conseil Général. La Ville, comme elle l’a toujours fait, pourra leur apporter une aide logistique, notamment sur l’évacuation des gravats et végétaux.

 

La Ville profite de l’occasion pour rappeler qu’à plusieurs reprises, elle a attiré l’attention des propriétaires sur l’état inquiétant et la présence de végétation importante sur des secteurs de remparts. Même si en l’occurrence, la section du rempart concerné était loin d’être la plus dégradée, la Ville rappelle à cette occasion les différents propriétaires à leur responsabilité.

 

Enfin, compte tenu des circonstances climatiques exceptionnelles de ces derniers jours (gel/dégel, froid/redoux avec une amplitude de température de plus de 20°, chutes de neige abondantes suivies de précipitations particulièrement importantes), la Ville a sollicité de Monsieur le Préfet un classement en catastrophe naturelle, comme elle l’avait fait en janvier 2007, suite à des circonstances climatiques là aussi exceptionnelles.

 

 

 

 

 

 

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8 décembre 2010 3 08 /12 /décembre /2010 14:44

FETES FORAINES

 

Suite à votre article, la Ville d’Autun vous adresse le droit de réponse suivant :

 

Concernant les relations entre la Ville d’Autun et les commerçants forains, je tiens tout d’abord à préciser qu’il y a toujours eu concertation et que les décisions prises par la Ville, après concertation, ont été annoncées aux forains lorsqu’ils étaient présents en centreville, et non pas « dans leur dos ».

 

C’est d’ailleurs cette concertation qui nous a valu une manifestation aussi épidermique que déplacée. Car, et c’est le deuxième point, la Ville d’Autun n’a jamais souhaité écarter ses fêtes foraines du centre ville. Elle souhaite les conserver, mais les redynamiser, les sécuriser, les installer dans des espaces plus adaptés et éviter qu’elles ne « s’effilochent » au fil des jours.

 

Les deux fêtes foraines doivent rester de véritables événements de centre ville, destinés à tous les publics, pas seulement les plus jeunes enfants mais aussi les adolescents, à des tarifs qui doivent demeurer raisonnables et accessibles pour toutes les familles. Elles doivent par ailleurs se dérouler en toute sécurité.

 

Rappelons qu’à Autun, les fêtes foraines occupent près d’un mois et demi le centre ville, ce qui assurément n’est pas ou plus le cas dans la plupart des villes.

 

 

Enfin, deux réunions de concertation ont eu lieu depuis septembre dernier, notamment avec un accord sur les nouveaux tarifs, et une autre est prévue en janvier. Le dialogue est donc bel et bien de mise.

 

 

 

Roger VERNAY

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 17:10

  

 

CIAS : Le Conseil d’Etat a tranché.

 

 

Le Centre d’Action Sociale de Saint-Pantaléon avait contesté auprès du Conseil d’Etat le transfert de l’ensemble de ses compétences au Centre Intercommunal d’Action Sociale, rattaché à la Communauté de Communes de l’Autunois.

 

Le 29 octobre 2010, le Conseil d’Etat a tranché la question, déboutant les Elus de Saint-Pantaléon et confirmant le jugement du Tribunal Administratif de Dijon. Les compétences sont donc définitivement transférées, ainsi que l’ensemble des moyens matériels, salles et véhicules se rattachant à l’exercice de ses compétences, pour pouvoir offrir aux usagers la continuité des prestations sociales obligatoires et facultatives.

 

Les Elus de Saint-Pantaléon avaient fait connaître à vos lecteurs le recours en question. Ne sachant pas s’il feront état du jugement rendu, nous le faisons aujourd’hui auprès de vous.

 

 Autun, le 22 novembre 2010



Monique GATIER

Vice-Présidente du C.I.A.S.



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 13:41

La ville d’Autun

souhaite conserver une politique facilitatrice pour les associations

 

 

Contrairement à la rumeur, le règlement d’accès aux salles municipales, actuellement en cours de révision ne sera pas profondément bouleversé et notamment sera maintenu le principe d’une gratuité hors charges pour une manifestation annuelle de chaque association. Simplement, cet accès devrait être plus restrictif et ne pas concerner des manifestations à caractère purement lucratif ou commercial, sans dimension sociale, culturelle ou sportive, manifestations que le gouvernement envisage d’ailleurs, à court et moyen terme, de soumettre à la T.V.A.

 

 

 

Autun, le 21 octobre 2010

Roger VERNAY

 Adjoint au Maire chargé de la Sécurité,

de la Vie de Quartier et de la Vie associative

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 08:48

EXTRAIT DE LA CONFERENCE DE PRESSE

de M. Rémy REBEYROTTE, Maire d'Autun,

Vice-Président du Conseil Général,

Président de la Communauté de Communes de l’Autunois

 

 

 

 

 

 

 

 

Lundi 27 septembre 2010 à 15 heures 30

____________

 

Point sur l’application du dispositif Borloo

sur l’agglomération autunoise.

 

Au côté de Jacques Lioret, et en remerciant Bernard Dechaume et les services de la Ville, je voudrais avec vous faire le point des engagements pris par la Ville, suite à la mise en œuvre du dispositif Borloo visant à lutter contre la rétention foncière.

 

J’avais pris, devant la vingtaine de contribuables (sur 8800 foyers fiscaux assujettis au foncier) mis en difficulté par une mauvaise application de la mesure, trois engagements, qui ont fait l’assentiment de tous lors de la réunion du 13 septembre dernier :

 

1 – L’examen individuel des situations :

 

La plupart des entretiens individuels ont eu lieu depuis le 13 septembre, les derniers sont programmés dans les jours qui viennent.

 

J’ai rencontré Monsieur le Directeur Départemental des Finances Publiques. Suite aux entretiens, il est proposé à chacun d’exercer une réclamation individuelle auprès des Services Fiscaux. La Ville accordera le dégrèvement nécessaire au vu du dispositif très allégé qu’elle adoptera le 30 septembre.

 

Je veux ici m’excuser personnellement et excuser la Ville pour les désagréments causés à la vingtaine de contribuables en question, qu’ils habitent l’agglomération ou à l’extérieur.

 

A aucun moment, la Ville n’a nié la difficulté qu’ils pouvaient rencontrer. Nous avons toujours été ouverts au dialogue, rencontré les propriétaires, collectivement ou individuellement, à plusieurs reprises, reconnu les cas extrêmes, toujours existants quand un dispositif fiscal nouveau se met en place, cherché à trouver des solutions. Il n’y a eu aucun blocage, aucune porte fermée de notre part.

 

 

2 – La révision à la baisse du dispositif :

 

L’objectif de remettre des terrains réellement à la construction est pour autant maintenu car il faut revenir au problème de fond : lutter concrètement contre la rétention foncière. Si Autun est en catégorie C – marché peu tendu – sur l’immobiliser bâti, ce n’est pas le cas hélas sur le foncier constructible non bâti.Le dispositif sera revu fortement à la baisse mais restera incitatif.

 

La contribution supplémentaire sera ramenée au maximum à 0,10 € par m². Cependant, suite aux entretiens, si les terrains envisagés à la vente sont réellement mis à la vente à court et moyen terme, permettant de décongestionner le marché, le dispositif pourrait disparaître dès 2012 ou 2013.

 

Aujourd’hui, une dizaine de communes ont mis en place la mesure, avec toutefois un foncier constructible non bâti moins concentré (ici, 60 % de ce foncier est dans les mains de 10 foyers fiscaux). Une quinzaine de communes nous ont contactés directement ou via leur intercommunalité car elles sont confrontées aux mêmes difficultés concernant leur foncier constructible non bâti.

 

3 – Dialogue permanent avec les propriétaires :

 

Nous espérons bien rentrer dans un dialogue permanent avec les principaux propriétaires que nous réunirons le 17 novembre prochain ; dialogue collectif, mais surtout individuel, pour faciliter leur volonté de libérer des terrains à la construction et permettre à des familles de réaliser leur projet de construire leur maison dans l’agglomération. L’opération « 100 terrains pour construire sa maison » se poursuit donc activement.

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 12:49

Cette année, la part communale de la taxe foncière sur Autun n’a pas augmenté de 3000 % mais en moyenne de 3 %.

 

La mesure dont il est question, dans le cadre de l’application de la loi Borloo, ne concerne que très peu de foyers fiscaux et ne pose des difficultés que pour une vingtaine de foyers pour lesquels nous sommes en train d’examiner la situation au cas par cas.

 

Il s’agit d’une taxation supplémentaire pour les propriétaires de terrains importants, terrains qui sont devenus des terrains à bâtir et pour lesquels les propriétaires, suite à ce classement, n’ont rien fait pour les rendre réellement constructibles : ni aménagement, ni mise en vente.

 

Pourquoi cette mesure ? Car cette rétention foncière, ce gel de 76 hectares de terrains, a une conséquence : les jeunes ménages qui souhaitent devenir propriétaires et s’installer dans l’agglomération ont les plus grandes difficultés à le faire (en 2009, moins de 15 permis de construire ont été délivrés faute de terrain ou en raison d’un prix particulièrement élevé (55 à 60 € le m²), prix élevé directement lié à la rareté des terrains réellement disponibles).

 

La mesure vise donc à encourager, sous deux ans, les propriétaires de terrains à bâtir à libérer, au moins partiellement, des terrains à la construction.

 

Enfin, il faut toujours se méfier des évolutions en pourcentages, d’autant que le reclassement à cette occasion de certains terrains par l’administration fiscale a eu des effets dévastateurs : ainsi, l’un des foyers fiscaux payait jusqu’à présent 7 € d’impôts fonciers pour un terrain de 3000 m² ; dans le cadre du dispositif Borloo, il paiera environ 300 € : cela fait plus de 4000 % d’augmentation.

 

 

AUTUN, le 17 septembre 2010

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 12:45

  

 

L’objectif de la Ville d’Autun est de permettre aux familles de réaliser, si elles le souhaitent, sur l’agglomération, leur parcours locatif puis leur accession à la propriété.

 

C’est un enjeu extrêmement important pour la Ville parce qu’aujourd’hui de nombreuses familles rencontrent des difficultés à réaliser ce parcours et donc ont tendance à quitter l’agglomération, non pas par choix mais par contrainte.

 

Cette orientation politique se décline, en terme opérationnel, sous plusieurs formes :

 

-         réhabiliter l’habitat collectif pour le rendre davantage attractif : c’est l’objectif des différentes réhabilitations soutenues par la Ville et portées par des opérateurs tels que l’OPAC, la plus caractéristique de ces opérations étant le Programme de Renouvellement Urbain sur Saint-Pantaléon ;

 

-         diversifier l’offre en matière locative, à travers la proposition de petits collectifs, horizontaux ou verticaux, sous forme de petites résidences ou de maisons de rue. Plusieurs opérations réalisées ou actuellement en cours vont dans ce sens : maisons-fleurs, En Fleury, ancienne caserne de gendarmerie, etc. ;

 

-         faciliter l’accès à la propriété, soit par le biais de l’accession sociale à la propriété (c’est sans doute un domaine où nous avons encore beaucoup à réfléchir), soit par la lutte contre la rétention foncière, car aujourd’hui, sur notre agglomération, les terrains réellement disponibles pour bâtir, à un prix accessible pour les futurs propriétaires, sont quasi inexistants. Là encore, dans ce dernier secteur, les opérateurs comme l’OPAC ont un rôle important à jouer, rôle qui d’ailleurs diversifie leur mission en les plaçant dans une dynamique intermédiaire entre l’habitat social et l’habitat traditionnel.

 

 

AUTUN, le 17 septembre 2010

 

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